Portrait d'artiste

Dans les années 70, Géraldine Lacroix  travaille au musée du Louvre, au département des Antiquités Égyptiennes. Son doctorat en Histoire de l’art permet de faire découvrir et mis en valeur un peintre du 18 ème siècle :  Pierre-Auguste VAFFLARD.

Elle rentre ensuite à la galerie Carlhian à Paris, ou elle s'occupe des artistes qui sont aujourd'hui cotés dans le marché de l'art :   Luis TOMASELLO, Marino DI TEANA, Pablo REINOSO, Ricardo Licata, NOVOA, et François WEIL.
Elle est choisie comme commissaire d'expositions pour ces artistes, et organise les organisations promotionnelles et les nombreux contacts et rendez-vous avec les collectionneurs.

A partir de 1993, elle est engagée pour s'occuper de  Yann KERSALÉ, l'artiste plasticien qui utilise la lumière comme matériau d’expression   

Elle s’installe en Belgique dans les années 2005. Elle y élève ses enfants, et quand ils sont lancés dans la vie, elle a enfin du temps et elle se lance enfin dans sa passion artistique pour la peinture.   C'est avec avec le soutien de son amie PARVINE CURIE qu'elle développe son art.

Conseillée par le peintre belge  Stéphane BALLEUX, professeur à l'Académie Royale des Beaux-Arts, elle créée des œuvres originale et unique, avec une véritable personalité, ce qui est rare dans le monde de l'art aujourd'hui.

Ses œuvres sont tout d’abord figuratives. Car on doit maîtriser la figuration avant de se lancer dans l'abstraction. Et la réussite de ce passage est totale. Un plaisir pour les yeux, des œuvres dont on ne se lasse pas.

Pour Géraldine LACROIX, l'abstraction ou la figuration est un faux débat.
Peindre, un point c’est tout.